Un certain nombre d'activistes et de journalistes des droits de l'homme à Genève ont accusé Kamal Jandobi, chef de l'équipe d'experts des Nations Unies sur le Yémen, d'avoir coopéré et travaillé avec des ONG fidèles au régime iranien et aux rebelles houthis au Yémen. Ces accusations ont eu lieu après que le Centre du Golfe pour les droits de l'homme, une des organisations pro-iraniennes, ait organisé un séminaire au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève vendredi dernier. Les organisateurs ont annoncé qu'Al-Jandoi participerait à leur événement, comme il participait à des activités similaires avec d'autres organisations pro-iraniennes, mais pas avec le gouvernement yéménite.À la suite de l’annonce des organisateurs de la participation du responsable du groupe d’experts des droits de l’homme, de nombreux militants des droits de l’homme qui soutenaient le gouvernement yéménite ont manifesté devant la porte de la salle de réunion, considérant Al-Jandoubi comme une organisation non neutre et non politique. personne indépendante et soutenant une partie contre l'autre. Salah Bin Laghber, journaliste yéménite, a déclaré à AIJES qu'Al-Jandobi n'avait pas assisté à la réunion, évitant ainsi l'embarras ou la critique des kournalistes et des défenseurs des droits de l'homme qui critiquent habituellement ses reportages sur la situation au Yémen, ce qui est contraire à la résolution du Conseil de sécurité. Yémen.Al Jandobi a seulement fait une déclaration par vidéo qui a été diffusée dans la salle de séminaire et qui a suscité beaucoup de colère parmi de nombreux partisans du gouvernement yéménite.Le Dr Taher Bumedra, ancien chef de la délégation des droits de l'homme en Irak, a déclaré que les rapports de l'équipe d'experts des conseils des droits de l'homme des Nations Unies contredisaient totalement les résolutions de l'ONU sur le Yémen. AIJES News